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Unhéros pour son petit frère. Dimitri âgé de 30 ans est décédé dans la nuit du 17 au 18 août dans un accident mortel sur la RN3 de Saint-Pierre dans le secteur de Casabona dans le sens du
Cejeu d'aventure vous place en pleine SF des années 50, avec fourmis géantes, personnages bien stéréotypés et ambiance oppressante, l'humour en plus et l'aventure en plus aussi. Licence Freeware. OS. Langues Anglais.
Lacompagnie américaine veut entrer sur le très convoité marché indien du divertissement et mise sur un spin-off, version bébé, du héros populaire de Chilaka. "Nous voulions vraiment un
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Enviede nature pour votre enfant ? la Maison de la Pêche et de la Nature vous propose le stage "Les Indiens dans la Ville", du 27 avril au 1er mai 2015. Offrez à vos enfants l'occasion de s
nonton film who am i sub indo. Samedi 19 décembre dans Salut les terriens sur Canal +, Thierry Ardisson recevait Ludwig Briand, le héros de Un indien dans la villeLe 14 décembre 1994, les cinéphiles français découvraient le visage de Ludwig Briand, héros du film Un indien dans la ville avec Thierry Lhermitte. Du haut de ses 13 ans, le petit garçon casté grâce à ses cheveux longs campait le jeune Mimi-Siku. Plus de vingt ans après, le moins que l'on puisse dire, c'est que le comédien a bien changé. Dans Salut les terriens, Ludwig Briand est revenu sur cette période de sa vie, désormais loin derrière lui. Car si il a touché la somme de 100 000 francs à l'époque, aujourd'hui il ne touche que " 50 euros à chaque diffusion".Loin d'être aigri, Ludwig Briand garde un bon souvenir de cette époque "J'ai même présenté la météo dans Nulle part ailleurs avec un pagne" a-t-il commenté avec un large malgré les 8 millions de téléspectateurs qui se sont empressés de le voir sur grand écran, le jeune comédien n'a pas réussi à transformer l'essai. Ne parvenant à percer au cinéma ni à la télé, le jeune homme a ensuite repris ses études de droit, enchainant les petits boulots, refusant même de participer à Secret Story. De vendeur expert en cigares, à animateur de centre de loisirs, père Noël, et même joueur de poker à Las Vegas "J'ai battu Laurent Baffie aussi" a-t-il confié amusé, avant de revenir sur sa profession actuelle, à mille lieues de l'ambiance d'un plateau de cinéma "Je suis en stage à Bobigny mais je suis à l'école national des greffes à Dijon et je vais choisir de mon poste au mois de janvier".SLT que devient Ludwig Briand alias Mimi-Siku... par telestar_video Inscrivez-vous à la Newsletter de pour recevoir gratuitement les dernières actualités
Western / de Scott Cooper E-U, 2h13 avec Christian Bale, Rosamund Pike, Wes Studi… 1892. Peu avant de quitter l’active, le capitaine Blocker se voit confier une ultime mission escorter sur ses terres sacrées le chef Yellow Hawk moribond et les siens. Or Blocker, vétéran des guerres indiennes, hait les Cheyennes. Au terme d’un voyage agité, il révisera ses western constitue plus qu’un genre cinématographique une merveilleuse éponge, s’imprégnant davantage de son contexte de tournage que de l’époque qu’il est censé dépeindre. Ainsi, le 1892 vu par Scott Cooper en dit-il long sur 2018 et l’approche de plus en plus ouvertement nuancée d’Hollywood vis-à-vis de la “Conquête de l’Ouest”. La représentation manichéenne, historiquement biaisée, du “gentil pèlerin propre sur lui face au vilain sauvage” a ainsi été rectifiée depuis les années 1970 avec notamment Soldat Bleu et Little Big Man ; et la terminologie elle-même a changé les pionniers sont devenus des colons et les Indiens, des Amérindiens. Ceux-ci ne sont plus considérés comme des masses informes, mais en tant qu’individus organisés en peuple, aptes à agir un long chemin — au sens propre vers le Montana, métaphorique vers la fraternisation —, Hostiles brosse dans le format canonique du genre, le CinemaScope, la naissance d’une paix inéluctable au fil d’alliances de raison puis de choix la confiance menant à l’amitié, et le devoir au pardon, en particulier grâce à la puissance de résilience d’une victime de razzia superbe composition de Rosamund Pike, d’ailleurs superbement ignorée par les Oscar. Cette fresque épique renforce le mythe américain parce qu’elle montre justement la capacité de ses citoyens à surmonter leurs errements passés et à défendre la justice contre la force. On peut s’arrêter à une lecture patriotique d’une nation à l’infaillibilité papale, ou voir plutôt une exhortation à aller encore plus loin dans le progressisme. On y souscrit volontiers.
Ludwig Briand dans son rôle de Mimi-Siku en 1994. © SIPA 29/12/2016 à 1520, Mis à jour le 29/12/2016 à 1526 En 1994, la France entière découvrait Mimi-Siku dans le film Un Indien dans la ville». Que devient son interprète Ludwig Briand? Vingt-deux ans après sa sortie, Un Indien dans la ville» est toujours rediffusé sur le petit écran, suscitant le même engouement des téléspectateurs. Ouest France» a retrouvé la trace de Ludwig Briand, qui interprétait le petit garçon Mimi-Siku. Agé de 35 ans aujourd'hui, le jeune homme a coupé ses cheveux longs et effacé la peinture rouge de son visage. Ces mêmes cheveux longs qui l'avaient aidé à obtenir le rôle du fils de Thierry Lhermitte dans le film. Au départ, j’étais pressenti pour un rôle d’enfant dans la série "L’instit" avec Gérard Klein. Ils étaient prêts à me prendre, mais il y avait une condition que je me coupe les cheveux. C’était hors de question ! Du coup, ils ont pris quelqu’un d’autre. Mais j’avais, semble-t-il, marqué les esprits. Quelque temps après, la casteuse m’a rappelé pour me proposer un rôle d’enfant avec le teint mat, les cheveux longs. C’était pour jouer Mimi-Siku», se dans un tribunal d’Ile-de-FranceOn a retrouvé Mimi Siku, il est devenu greffier Ouest-France OuestFrance 27 décembre 2016 Après avoir assuré la promotion du film dans le monde entier au milieu des années 90, Ludwig Briand a peu à peu laissé tomber la comédie pour poursuivre ses études. Après avoir un temps voulu être vétérinaire, il a passé son bac. J’ai enchaîné les petits boulots en parallèle à mes études de droit animateur dans un centre de loisirs, employé dans l’immobilier… Et puis j’ai pu rejoindre ma filière de formation en passant le concours de greffier», a-t-il dit au quotidien. Il est désormais greffier dans un tribunal d’Ile-de-France, au service des majeurs protégés». La suite après cette publicité Il ne refuserait pas d'apparaître dans la suite du film culte, même si cela lui demanderait une grosse réflexion». Cela me plairait de retrouver l’équipe du tournage et de retourner en Amazonie», dit-il encore. En revanche, il y a une chose qu'il refusera toujours apparaître des émissions de téléréalité. Ça n’a rien d’artistique». Contenus sponsorisés
Depuis toujours, les Indiens d’Amérique sont des héros de cinéma. Rares, pourtant, dans leur longue filmographie, sont les œuvres accessibles aux enfants. Nous en avons toutefois déniché trois, pour jouer aux Indiens presque sans les cow-boys. “Les Cheyennes”, de John Ford 1964 L’histoire en deux mots Malades et affamés, les derniers Cheyennes quittent dans un ultime coup de force leurs réserves d’Oklahoma pour rejoindre leurs terres ancestrales du Wyoming. Une jeune institutrice se joint à eux, tandis que les Tuniques bleues du capitaine Archer sont chargées de les pourchasser. L’argument pour leur donner envie 2h45, une durée inhabituelle, propice à se coucher tard ou à passer la matinée dans le canapé avec une peau de bison sur les genoux. Ce qu’ils vont apprendre Filmé en Technicolor, avec pas mal de licences poétiques, l’exode des Cheyennes de 1878-79, vers le parc de Yellowstone, a bien eu lieu. Occasion idéale d’évoquer le sort des Indiens, les Native Americans », comme on les appelle là-bas, à la fois dans la réalité et à Hollywood, qui a commencé à leur rendre hommage à partir de ce film charnière, le dernier western de John Ford. Le rappel historique peut s’accompagner d’un topo sur le tournage, qui a eu lieu principalement à Monument Valley, là où Ford a tourné ses westerns les plus célèbres La Prisonnière du désert, La Charge héroïque, La Chevauchée fantastique..., dans lesquels les Indiens étaient présentés unilatéralement comme des sauvages. Au crépuscule de sa carrière, Ford se rachète avec ce magnifique film testament, où cavalerie et Indiens se livrent un ultime combat, presque mécanique, sans pouvoir identifier les racines de leur haine réciproque. Le moment qu’ils vont vraiment aimer La bataille, injuste, déséquilibrée, comme toujours, entre les Tuniques bleues et les Cheyennes. Dix mille soldats et des canons d’un côté, trois cents Indiens à bout de souffle de l’autre. Après ça, vos petits cinéphiles conscientisés seronts mûrs pour lire la version pour adolescents d’Une Histoire populaire des Etats-Unis, de Howard Zinn 2 volumes, éd. Au Diable Vauvert, 2010. A partir de 8 ans. Disponible sur Canal VOD “L’Indien du placard”, de Frank Oz 1995 L’histoire en deux mots Il était une fois un mystérieux placard, capable de donner vie à n’importe quel jouet... Sacré cadeau d’anniversaire pour Omri, à peine 9 ans, qui y range sa figurine d’Indien en plastique toute neuve avant d’aller se coucher. Au matin, c’est un authentique guerrier iroquois, en chair, en os et en miniature, qui squatte le meuble. D’abord déconcerté qui ne le serait pas ?, le petit garçon et le mini-brave développent peu à peu une indéfectible et touchante amitié… Litefoot et Hal Scardino, L'INDIEN DU PLACARD de Frank Oz 1995 d'après le roman de Lynne Reid Banks. Kennedy-Marshall L’argument pour leur donner envie Tu as aimé Toy Story ? C’est pareil, mais avec un Indien. » Sorti la même année que le premier long métrage des studios d’animation Pixar, ce conte tout doux, bourré d’idées ingénieuses – ne pas manquer, par exemple, le bricolage d’une parfaite mini-cabane –, repose sur le même fantasme animiste partagé par tous les enfants, ce rêve d’enchanter le quotidien, jusqu’au plus petit doudou. Aucun bambin ne peut résister, c’est gagné d’avance. Même les effets spéciaux pré-numériques mais habiles et pimpants ne les décourageront pas. Ce qu’ils vont apprendre Que les Amérindiens ne sont pas d’abstraits personnages de western, mais aussi un ensemble de vraies nations opprimées. Si, si, ce divertissement léger et tendre ose aborder la question, à sa manière discrète mais constante, au gré de multiples clins d’œil et répliques. Little Bear, notre héros iroquois, a beau être riquiqui, il a été arraché par magie à son époque lointaine 1761 dans la chambrette d’Omri. Alors, il s’interroge Sommes-nous toujours un grand peuple ? » Embarras du gamin, qui répond, en substance Toujours... mais ce n’est plus si bien que ça. » Le moment qu’ils vont vraiment aimer Le gentil Little Bear n’est pas le seul à subir les effets du placard enchanté. Dinosaure, destrier, chevalier, petit soldat… et même Dark Vador la boîte à rêves risque bien de s’emballer, et les cinéphiles en herbe aussi. A partir de 7 ans. Disponible en DVD “Lone Ranger, naissance d’un héros”, de Gore Verbinski 2013 L’histoire en deux mots Dans le Texas de 1869, John Reid, un jeune avocat idéaliste, participe à la poursuite d’un dangereux hors-la-loi. Après une embuscade, il est sauvé par un étrange Comanche nommé Tonto et son cheval blanc un peu magique. John devient le Lone Ranger », justicier masqué, et mène avec son compère indien une enquête qui le conduit à un vaste complot, autour de la construction du chemin de fer. Klinton Spilsbury, LE JUSTICIER SOLITAIRE de William A. Fraker, 1981, d'après les personnages créés par George W. Trendle et Fran Striker. Eaves Movie Ranch - Incorporated Television Company ITC - Wrather Productions L’argument pour leur donner envie Gore Verbinski était déjà aux commandes de la saga Pirates des Caraïbes, épopée océanique que tous les enfants connaissent par cœur. On retrouve ici la savoureuse recette maison du cinéaste humour, action, effets spéciaux spectaculaires, méchants pas si effrayants... Et même Johnny Depp qui, de pirate loufoque, devient ici Indien zinzin. Peinturluré de noir et blanc et coiffé d’un corbeau empaillé, il conjugue étrangeté et clownerie, dans un énorme numéro de cabotinage. Ce qu’ils vont apprendre Le Lone Ranger et son copain, le Comanche Tonto, sont de véritable piliers de la culture populaire aux Etats-Unis. D’un feuilleton radiophonique des années 1930 à une flopée d’autres œuvres — série télé, comics, animation, romans —, le mythe véhiculait une vision paternaliste, voire caricaturale, des Amérindiens. Malgré les outrances de Johnny Depp, la version moderne tentait d’y remédier, en infiltrant dans le divertissement quelques vérités bien senties sur la spoliation des peuples autochtones. Le moment qu’ils vont vraiment aimer Enchaînés ensemble, les deux héros s’enguirlandent, fuient et se battent sur le toit d’un train lancé à pleine vitesse dans les plaines de l’Ouest. Une belle mécanique d’action, de gags et d’idées visuelles, parfaitement huilée. A partir de 10 ans. Disponible sur Canal VOD, Orange, Mytf1VOD Enfants voir Films pour les enfants de 8 à 12 ans Films pour enfants Western Gore Verbinski Johnny Depp John Ford Frank Oz Partager Contribuer Sur le même thème
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Les cinéphiles déviants se souviennent peut-être de lui comme un des membres des 13 cloches, une troupe de comiques ringardes emmenés par Philippe Clair entre les 70's et les 80's, une sorte d'imitation des charlots et il a gardé des séquelles de sa jeunesse navetteuse. Son triomphe, un indien dans la ville, fût son seul succès d'estime dans une carrière de réalisateur jonchée de grosse merde Mookie, les frères pétards, la gamine. Alors pourquoi "Un indien ect." a cartonné? Pour deux raisons principalement, la première parce qu'il véhicule une image post-colonialiste et chauviniste des sociétés étrangères amérindiens et ex-URSS et donc joue sur le ressort comique de la confrontation des mondes en forçant le trait suffisamment pour déchirer la pellicule devant tant d'ânerie et la seconde parce qu'il dégouline d'une somme astronomique de bons sentiments en pagaille, dans laquelle la logique narrative et le discernement viennent se noyer. Affligeant le public 90's, qui ne demandait que cela, d'une nouvelle singerie démodée qu'il pourrait apprécier sans réfléchir tout en se flattant l'ego. "Un indien dans la ville" est un film simple comme bonjour. L'histoire est certes originale mais en soi, le film n'est pas parvenu à me faire décoller de mon siège. "Un indien dans la ville" est un film à l'apparence sérieux qui vire en une comédie que certains apprécieront davantage.. Et bien qu'il soit divertissant, c'est encore à des années lumière du grand cinéma. Bon à regarder en famille, un dimanche après-midi. Très moyen de payer pour une oeuvre pareille au cinéma, malheureusement. Ca résonnait loin dans ma tête "Fais dodo" "On est mal, on est mal !". Je ne sais plus combien de fois j'ai visionné l'histoire de Mimi-siku quand j'étais petite ! Revu récemment, ça a été un pur plaisir de le revoir, chaque minute se savoure. Le scénario est original et donne de bonnes idées en terme d'humour, surtout quand les différentes bêtes la mygale, les poissons, les pigeons ne sont pas loin ! Les scènes mythiques restent bien évidemment celles où Mimi monte à la tour Eiffel et celle où Stéphane Thierry Lhermitte et Richard Patrick Timisit règlent leurs comptes. Les personnages secondaires sont très bons, et on prend plaisir à détester cette cruche d'Arielle Dombasle, dont le personnage est complètement taré ! Je pense que c'est ici que Patrick Timsit livre sa meilleure interprétation, son personnage est hilarant ! Et Ludwig Briand Mimi-siku et Pauline Pinsolle Sophie s'en sortent très bien ! Dommage que le film, à sa sortie, n'ait pas été rendu plus populaire ! C'est inconditionnellement un film à découvrir ou redécouvrir en famille ! Nul ! Pasez votre route l'histoire est ridicule et a part Timsit et Lermite ya personne ! Ce film est aussi ridicule que le prénom de son personnage principal. Un scénario est une mise en scène médiocre,un héros ridicule et irréaliste et les personnages secondaires sont abruti. Énorme succès de l'année 1994, Un Indien dans la ville a marqué les gosses de cette époque. A la manière des Visiteurs ou d'un Crocodile Dundee, Un Indien dans la ville, comme le suggère le titre, joue à fond la carte du contraste entre un gosse élevé chez les indiens par sa mère qui s'est enfuie enceinte et qui se retrouve subitement en plein Paris avec un père et une civilisation qu'il ne connaît pas. D'où les conneries qui en découlent. On escalade la Tour Eiffel, on chasse les pigeons de Paris avec un arc, on cuit des poissons rouges au barbecue, on mange de la nourriture pour chats, on balance des coups de pied dans les parties des policiers. Des gags et des dialogues peut-être pas très malins mais il faut savoir que le réalisateur, Hervé Palud, est un ancien membre de la troupe Les 13 cloches. Troupe qui a tourné avec Philippe Clair à la fin des années 70. Lhermitte, qui a signé l'adaptation et la production du film, ainsi que son pote Timsit paraissent vite dépassés par les événements, vociférant les 3/4 du film. Les Russes sont des mangeurs des doigts. Quant aux gosses, ils font connerie sur connerie. Ludwig Briand, dont la prestation avait marqué à l'époque, qui joue le fameux Mimi-Siku, a complétement disparu de la circulation et le revoir, comme revoir le jingle du Club Dorothée dans une scène du film, foutrait presque le cafard. Que les années passent vite. Comédie familiale culte de mon enfance, que je me souviens encore avoir vu avec mes grands-parents et mes petits frères. Nostalgie, nostalgie...Le film en lui-même n'est évidemment pas un chef d'oeuvre, mais il remplit aimablement son cahier des charges peu de temps morts, un jeune héros attachant, et une jolie morale bien-pensante."Un indien dans la ville" 1994, c'est aussi la chanson-titre de Tonton David, "Chacun sa route, chacun son chemin", et accessoirement un carton au box-office à plus de 7 millions d'entrées! Un très bon film familial avec Thierry Lhermitte et Patrick Timsit. Un des films les plus marquants de mon enfance ! Comédie sympathique et rythmée, mais qui manque cruellement de bonnes idées et finit de façon convenue. ça aurait pu être bien pire. Arielle Dombasle est trop drôle dans un rôle plus vrai que nature. Pas grand-chose à en dire, ça n'atteint pas des sommets mais ce n'est pas déshonorant non plus. Comédie française culte des années 90, avec l'un des derniers rôles marquants de Thierry Lhermitte, Un Indien dans la ville nous entraîne dès le début dans une folle aventure allant des forêts verdoyantes de l'Amazonie à la jungle urbaine de Paris où un brillant boursier va se retrouver nez à nez avec son fils indien, caché par son ex-femme partie vivre dans l'Amérique du Sud. Une histoire pas commode qui va tout autant nous faire rire que nous émouvoir, les séquences du jeune indien dans les rues de Paris étant férocement hilarantes. Aux côtés de Thierry Lhermitte, parfait en nouveau papa dépassé par les évènements, le génial Patrick Timsit dans un rôle lui aussi mémorable, celui du meilleur ami copieur de fringues, autrement sévère avec ses enfants et répétant sans cesse "On est mal ! On est mal ! On est mal !" Face à ces deux zigotos parisiens, le jeune Ludwig Briand qui campe un Mimi-Siku inoubliable se baladant constamment avec son arc, ses flèches, sa sarbacane et sa fameuse mygale Maïtika, terrorisant malgré lui la voisine de son père et n'hésitant pas à grimper en haut de la Tour Eiffel. Si l'intrigue peut s'avérer bien entendu poussive et certains points quelque peu exagérés Mimi-Siku possède des parents blancs mais ressemble à un Indien ; on ne monte pas comme ça en haut de la Tour Eiffel !, le long-métrage reste cependant bigrement agréable et foncièrement drôles, les nombreuses scènes humoristiques étant sincèrement tordantes. Et, outre les sujets tels que les difficultés d'être un père ou encore le passage de l'adolescence à l'âge adulte, le film de Hervé Palud s'amuse surtout sur le contraste entre deux ethnies bien différentes comme l'avait déjà, dans un autre registre, Un prince à New York de John Landis. Nous retiendrons donc aisément des scènes fantastiquement jouissives comme le tir à l'arc sur les pigeons d'une voisine parano, les nombreuses échappées de Maïtika, le remplacement de poissons inestimables par ceux pêchés dans la rivière, les quelques jours de ce pauvre Thierry Lhermitte à lutter contre les "dangers" de la jungle amazonienne ou encore les apparitions d'Arielle Dombasle, ici délectable chose rare en future épouse un brin dérangée, portée sur le bouddhisme... En somme, un régal de la comédie d'aventures française qu'on ne se lasse pas de regarder. "Un indien dans la ville"… Hein ? Pardon ? Un indien dans la ville ? Eh bien voilà de quoi susciter la curiosité… Et c’est ce qui explique peut-être l'immense succès rencontré en salles avec près de 8 millions d’entrées. Mais pas seulement. Cette comédie certes légère ne tombe jamais dans le défaut le plus récurrent dans les comédies françaises le too much. Pourtant, on peut craindre le pire dès le départ, avec un Thierry Lhermitte qui en fait un peu trop tout au long de son périple qui le mène en Amazonie pour obtenir la signature des papiers qu’il porte, mais au moins ça a le mérite d’imprimer un rythme qui ne quittera pas ce long métrage. Le rythme est soutenu, rendant cette comédie familiale très plaisante à suivre. Les gags s’enchaînent les uns après les autres avec simplicité, avec une certaine logique, donc avec beaucoup de réalisme et de crédibilité. Le casting y est pour beaucoup aussi, avec des comédiens placés dans un registre qu’ils connaissent bien, dont Patrick Timsit en mode survolté, Arielle Dombasle qui plane à 10 000, Miou-Miou imprégnée de zen attitude, et pour finir le jeune Ludwig Briand qui visiblement s’en donne à cœur joie. A cela on rajoute quelques répliques cultes "On est mal, on est mal, on est mal !", et le tout donne un résultat savoureux, malgré le fait qu’on puisse s’interroger sur le fait que ce jeune typé indien soit la progéniture de deux blancs ah ! les mystères de la génétique !… ou sur le fait que ce gamin puisse escalader sans souci la Tour Eiffel bon, ce n’est pas le premier, ni le dernier… ou encore sur la relative prévisibilité de certains gags… Sur une bande originale inoubliable composée par un trio Manu Katché/Tonton David/Geoffrey Oryema, "Un indien dans la ville" est donc un divertissement plaisant, que même les américains ont grandement apprécié, se sentant au passage obligés de faire un remake qui, parait-il, est d’une médiocrité absolue. Les meilleurs films de tous les temps Meilleurs films Meilleurs films selon la presse
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