on les a quand on a peur
Quandon ne sait pas, on a peur. La peur n'a de fin que quand on l'assume. Quand le mal est certain, La plainte ni la peur ne change le destin. Un original qui disparaît n'a pas peur de mourir, quand sa copie veille sur son âme La bravoure, c'est quand on est seul à savoir qu'on a peur. - C'est là que je viens me cacher quand j'ai peur.
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Tuvois que les temps qu’on vit ne sont pas faciles, Beaucoup de gens ont peur. Aide-moi à te confier mes peurs, Et même si je ne sais pas comment les choses vont évoluer. Aide-moi à te faire confiance, À croire que tu vas être avec moi et avec toute ma famille Et que tu nous aideras tous les jours à tenir bon.
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Lecentre administratif de la capitale turque subit son deuxième attentat en moins d’un mois. L’attentat du 17 février dernier contre un transport militaire partage le même mode opératoire que l’attaque de dimanche soir contre un bus municipal. “J’ai d’abord été pétrifié par la peur puis je me suis précipité pour aider les blessés” raconte Karim, un témoin de l’attaque.
nonton film who am i sub indo. La peur est le premier stade de l’angoisse. Ensuite, en fonction de son intensité, la peur peut devenir une angoisse plus ou moins forte. Plus ou moins constante. A ce moment, cette peur devient de l’anxiété. Dès lors, quelques questions se posent Peut-on dire que l’angoisse est la forme la plus élevée de la peur? Avoir peur, est-ce une émotion normale? Faut-il avoir peur en toutes circonstances? Sur quels fondements de personnalité la peur repose t-elle? Comment faire quand on a peur? La peur est-elle une maladie? Comment faire pour ne plus avoir peur? La peur n’est pas un sujet à prendre à la légère. Elle est est partout. Chacun de nous la vit de façon différente. Et la gère de façon toute aussi différente. N’oublions pas que celle-ci a un côté social et régulateur bien utile à toute société. Par exemple, la loi. Elle se fonde sur l’ordre. Elle est une réponse au désordre. Ce dernier, quand il est avéré, fait que si nous en sommes jugés responsables, nous somme condamnés. Donc, l’anxiété induite a du bon, au sens de certains. Faut-il être inhibé par la peur? Ou excité par elle quand on la dépasse? Quand on outrepasse la loi et l’ordre? Qu’est-ce qui convient ou pas comme réaction? En fait, c’est une question de positionnement. Une question de comportement. C’est précisément par ce dernier point que cet article débute. La définition d’un comportement. Définition de la peurEst-il normal d’avoir peur?Peur et construction de la personnalitéPeur Fuite ou combatLa peur est-elle une maladie?La phobie, cette peur irrationnelleComment agir de sorte à ce que la peur ne soit plus un problème?Comment combattre la peur facilement et rapidement? Définition de la peur Quand je parle de comportement, je parle de la réponse que chacun d’entre nous produit sur la foi de la façon dont il – ou elle – ressent un évènement. Une personne. Une situation. Et ce dans un contexte et un environnement donné. Cela signifie que, effectivement, chacun d’entre nous réagit de façon différente du fait de sa personnalité. Comme de tous les élément qui font son expérience de vie. Ainsi, il en va de la peur comme de la joie. Nous ne sommes pas impactés de la même façon. Ce qui fait peur à certains, amusent les autres. Et inversement. Ensuite, toute est une question de gradation. De capacité à supporter telle ou telle angoisse. Et dans quelle limite. La peur est un vecteur d’excitation prodigieux pour certaines personnes. Partant, d’action. C’est un facteur de souffrances pour beaucoup d’autres. Lesquels de ces deux groupes est celui qui réagit bien ou mal en ayant peur ou pas? Quand j’écris bien ou mal, je pense à raison ou tort. Est-il normal d’avoir peur? Comme à propos de tout ce qui concerne chacun d’entre nous, tout est une question de perception. Pour faire bref, oui, la peur est normale. C’est une émotion qui nous avertit d’un danger. Imminent ou pas. Lequel vous invite à adopter un comportement pour vous préserver. D’aucuns disent que les gens qui n’ont pas peur sont dangereux. Ce peut être le cas si ces personnes ne prennent pas garde à leurs propres limites. Partant, qu’elles se mettent en danger de façon irresponsable. Ou mettent les autres en situation de danger. La peur, comme l’angoisse, a cet avantage de vous permettre de vous situer par rapport à une situation. De vous positionner. Il s’agit donc d’adopter un comportement spécifique au sujet d’une situation vécue comme un problème. Ou d’une ou plusieurs personnes. Par exemple, si vous avez peur en avion, c’est probablement que vous craignez que l’avion ne s’écrase. Partant, vous éprouvez une angoisse de mort. Anxiété normale mais envahissante. Voire handicapante. Cette forme d’anxiété est légitime. C’est la vôtre. Vous avez le droit de la ressentir. Elle est liée au fait que vous avez conscience, par rapport à vos comportements habituels, que vous n’arrivez pas à objectiver. Vous ne pouvez pas accepter qu’une fois dans les airs, ce n’est pas vous qui contrôlez la situation. S’il y a un problème, vous ne pouvez rien maitriser. La solution éventuelle ne vous appartient pas. En quelque sorte, vous en êtes otage. Vous rassurer en vous disant que l’avion est le mode de transports le plus sécurisé au monde ne change rien à votre émotion. Laquelle, soit dit en passant, peut devenir une attaque de panique. Peur et construction de la personnalité Qui dit crise de panique, dit que c’est sur la foi de votre perception de ce type de situations que vous perdez le contrôle de vous même. Cela se passe de façon automatique. Vous êtes impuissant à changer cela. Vous voulez contrôler vos émotions mais, dans le même temps, vous en perdez le contrôle. C’est le résultat de l’éducation que vous avez reçu et de la perception des enjeux qui vous concernent. C’est directement lié à votre personnalité. Dans la plupart des articles de ce blog, j’explique ce qu’il en est de la construction de la personnalité. Partant, je vous démontre que l’anxiété, l’angoisse, le stress, etc., sont des émotions générées par votre perception. Par votre sensibilité. Que ces perceptions paramètrent vos réactions face aux sollicitations de la vie au quotidien. C’est donc en fonction de ce que vous apprenez et vivez, comme de l’expérience que vous tirez de vos expériences de vie, que vous avez, ou pas, des réactions d’anxiété, plus ou moins maitrisées. Le problème n’est pas d’avoir peur. Le problème se situe dans le comportement issu de cette émotion. Le problème c’est votre réponse et sa conséquence. Comme toutes les autres émotions, votre perception induit une réponse de fuite ou de combat. Peur Fuite ou combat Quand vous vous intéressez à la gestion du stress, vous apprenez très vite que ces deux réponses sont des éléments cognitifs. Je parle de la fuite et du combat. Cela signifie que ces deux comportements sont une réponse réflexe à des demandes extérieures à vous. C’est en fonction de votre éducation que vous concevez une réponse ou une autre. Et ce, que vous ayez la peur du gendarme, celle de mal faire, de parler en public, ou encore un problème pour séduire. Je m’arrête là car tous les sujets sont susceptibles de générer de l’anxiété. Votre éducation, donc vos parents, et certains de vos proches, les ainés, vous apprennent ce sentiment. D’ailleurs, vous êtes imprégné de l’anxiété de vos propres parents. De leurs névroses. Vous l’apprenez de leur fait et par vous même. Ceci en commettant certaines expériences qui vous permettent de trouver vos limites. C’est donc en fonction de la perception que vous avez de certains dangers et de vos objectifs de vie que vous combattez ou fuyez. C’est donc sur la foi de votre vision sociale, affective, économique, professionnelle que vous vivez un évènement comme agréable ou douloureux. Dès lors, vous êtes éventuellement confronté à un dilemme. Vouloir dépasser votre crainte et ne pas y arriver. Cela s’appelle l’inhibition. A l’inverse, d’autres personnes sont tellement désinhibées, ou feignent de l’être, qu’elles courent de grands dangers. Le problème n’est ni de fuir ni de combattre. Le problème réside, éventuellement, dans l’image que vous avez de vous une fois une fois fait un choix de comportement. D’où la question des conséquences de votre choix. Réfléchi don objectif. Ou automatique. La peur est-elle une maladie? La peur est une émotion normale. La plupart des animaux et les êtres humains sont confrontés à leurs peurs. Cette émotion nécessite une réponse, un comportement adapté. Il s’agit là de se protéger. C’est l’instinct de survie. De fait, puisque c’est une émotion normale, ne cherchez pas à faire ou dire des choses qui vous stressent. Vous savez que dépasser vos limites vous fait prendre des risques que vous n’assumez. Ce n’est pas un jugement. C’est une constatation. Mais, ne rien faire sous le prétexte de votre inhibition est aussi un problème. Cette émotion n’est pas une maladie. Le vrai problème consiste à exprimer la meilleure réponse dans le respect de vous même. Agir et non réagir. C’est de votre responsabilité. Dès lors, essayez d’accepter votre émotion pour ce qu’elle est. Elle est normale. Elle est humaine. Ne vous contraignez pas, tout d’un coup, à faire ou dire quelque chose qui a vous procure une certaine angoisse. A plus forte si une situation ou une autre est facteur de troubles anxieux. N’oubliez jamais que pour favoriser votre équilibre, il est de votre responsabilité de vous accepter pour qui vous êtes comme vous êtes. Il en va de votre développement personnel. Au sens de la confiance en soi. De l’affirmation de soi. En bref, de votre équilibre psychique. Par exemple, en ce qui me concerne, je suis terrorisé par la violence physique. Cela ne fait pas de moi un sous homme. En tous cas, pas à mon sens. Ni ne me renvoie pas de moi une image négative. C’est comme çà. C’est ma réalité. La phobie, cette peur irrationnelle Je ne sais pas s’il y a des définitions de la phobie. Ou de la peur irrationnelle. En existe t’il une plus pertinente qu’une autre. Partant, la phobie est une peur irrationnelle. Peur de l’eau – aquaphobie -. Peur de vomir – émétophobie -. Peur de mourir – phobie de la mort -. Et je m’arrête là. La liste des phobies et, partant, de peur irrationnelle est impressionnante. Une phobie a pour vocation à protéger une personne de quelle chose qu’elle redoute. En s’en protégeant, la personne contrôle son environnement. Comme dans une phrase magique, elle se dit qu’en se protégeant de quelle que chose qui lui fait peur, elle n’a plus peur. Çà, c’est dans le meilleur des cas. Dans le pire des cas, quelqu’un qui souffre d’une phobie a sans doute remarqué, au début en tous cas, qu’en se protégeant de sa phobie, de sa peur irrationnelle, elle se sécurise. A ceci près que ce qui peut fonctionner un temps ne fonctionne plus. En conséquence, cela donne lieu à une phobie. Quelque chose qui n’est plus sous contrôle. La phobie a souvent un lien avec un évènement perçu ou vécu comme traumatique. Cela signifie que la personne est très fortement marquée par un évènement. Ou une situation. L’un ou l’autre l’aura terrorisée. Fait perdre la maitrise de ses émotions. Donc d’elle même. En dehors de toute signification psychanalytique, je trouve que la phobie, ou peur irrationnelle, est un symptôme, un signifiant. En psychanalyse. Le problème réside dans le fait que beaucoup de gens s’ingénient à essayer de trouver une définition à la phobie. Une explication qui corresponde à leur symptôme. Et ce plutôt que de chercher une solution à leur phobie. C’est à dire un traitement adapté à cette peur irrationnelle. Il est vrai que notre culture est bien plus axée sur la psychanalyse. La compréhension et l’explication. Plutôt que sur la solution. Directe. Claire. Sans enluminures. Nous nous en rendons compte au travers des études de médecine. En effet, la relation médecin – patient s’appuie sur la psychanalyse. Je n’écris pas que c’est une erreur. C’est juste une tentative d’explication supplémentaire. Ce qui ne rééquilibre pas nécessairement la relation intrapersonnelle d’une personne victime de phobie, cette peur irrationnelle. Prenons un exemple. La phobie d’impulsion. Plutôt que de savoir pourquoi une personne est victime de de trouble anxieux, ne pas plutôt essayer de comprendre ce qu’il se passe? L’aider à ne plus souffrir de cette phobie très pénible? De cette peur irrationnelle de passer à l’acte. Pourquoi, ne pas s’attacher à construire une stratégie de résolution? Plutôt que de s’assurer que les symptômes identifiés sont conformes à une définition précise, voire lexicale, de la phobie d’impulsion. En matière de solution à la peur irrationnelle, l’approche systémique de Palo Alto fait des miracles! Comment agir de sorte à ce que la peur ne soit plus un problème? Agir de sorte à ce que ce type d’anxiété ne soit plus un problème est simple à imaginer. Mais plus difficile à mettre en place. Votre relation à la peur repose sur la contrainte de vous adapter. Mais votre désir de votre désir de changement. Ou de votre résistance au changement. Quand je vois le nombre de personnes qui se font du mal pour ne pas perdre la face devant les autres quand ils sont confrontés à leurs angoisses, je suis effaré. Vous accepter tel que vous êtes est la meilleure réponse à vous offrir à vous même. A 20 ans, rouler à tombeau ouvert – en voiture ou à moto – n’est pas un problème. En ce qui me concerne, je vieillis. Mes centres d’intérêt et de pré occupation évoluent. Aujourd’hui, passée une certaine vitesse, il m’arrive de me sentir angoissé. J’ai peur de l’accident. Du PV. Ou du retrait de permis. Que sais-je encore. Ma réponse? Je ralentis. Je m’adapte. L’anxiété générée par ce type de situation m’invite à m’adapter à ma réalité. Ce n’est plus un problème. Au contraire. Comment combattre la peur facilement et rapidement? Ainsi, je m’accepte comme je suis. Je réduis mon inquiétude quant à l’image que je donne de moi aux autres. Puis j’élimine cette anxiété. Je ne me focalise pas sur ma peur du jugement. Je me concentre sur moi. Sur la nature et la réalité de mes besoins. Et aussi sur mes propres limites. Je combats quand cela m’apparaît nécessaire. Si cela a un intérêt. Du sens. Voire que c’est vital pour mon équilibre. De la même façon que je peux fuir. Juste pour me protéger. M’accepter est le moyen le plus naturel pour avoir confiance en moi. Je sais très bien qu’au sens général du terme, je ne peux pas plaire à tout le monde. Et encore moins faire ou dire des choses qui plaise au plus grand nombre. C’est comme cela. Je n’y puis rien changer. A titre de conclusion, d’aucuns parlent d’humilité quand il s’agit de s’accepter soi. De confiance en soi, aussi. Mais sont-ce les mêmes qui, tous humbles qu’ils soient, sont empreints de honte et de culpabilité quand ils ont le sentiment de ne pas avoir eu un comportement adapté? Quand leur peur les a dépassé. Et vous, que faites vous pour vous accepter tel que vous êtes et faire fi du jugement des autres? Pour vous aider à répondre à cette question, je vous invite à regarder la vidéo de présentation de mon programme comportemental en ligne. C’est la meilleure voie d’accès pour traiter ce type d’anxiété excessive dont vous êtes victime. Article rédigé par Frédéric Arminot, coach comportemental Spécialisé dans le traitement des problèmes dangoisse, d’anxiété, de dépression, de phobie, et de toc, il exerce depuis plus de 25 ans en qualité de comportementaliste. Ancien grand anxieux, et victime d’angoisses aux multiples conséquences des années durant, il a créé un programme de thérapie comportementale en ligne Le Programme ARtUS Cette méthode thérapeutique résout 16 cas sur 17, soit + 95 % de résultats. Frédéric Arminot
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Sommaire Puisque le terrorisme cherche à nous diviser… … écoutons notre besoin de nous rassembler … restons fidèles à nos idéaux … ayons le courage de l’altruisme D’habitude, je me veux ouverte, altruiste, gentille. J’essaye de comprendre l’autre sans le juger. Mais en ce moment, j ’en veux au monde entier aux vieux qui nous ont amenés là, aux jeunes qui ne se bougent pas, aux riches qui sont égoïstes, aux pauvres trop soumis », confie Liz, 39 ans, qui a fermé les fenêtres de son appartement lyonnais pour que les voisins ne l’entendent pas. J’ai bien conscience que c’est plein de stéréotypes. J’ai honte d’être comme cela », ajoute-t-elle, la voix cassée. À Vincennes, Marguerite, 40 ans, s’inquiète C’est horrible, je suis en train de virer raciste"! Je regarde les Maghrébins avec inquiétude, suspicion. Pourtant, le grand-père de ma fille est algérien je ne tolérerais pas que quelqu’un porte ce regard discriminatoire sur elle. Si moi j’en suis là, je n’imagine même pas le résultat dans les urnes au printemps"! » Après le choc des attentats, l’incrédulité et la sidération, a en effet jailli une cascade d’émotions et de réactions – tristesse, fatigue, colère, besoin de contact physique, d’engagement altruiste, repli sur soi, agressivité, haine de l’autre… – selon les individus, selon les moments aussi, et parfois tout en même temps. Sans que nous comprenions trop ce qui nous arrive. Pouvons-nous encore, en ces temps de terrorisme, croire en l’altruisme et en la gentillesse"? Comment continuer à vivre ensemble, être attentifs les uns aux autres, dans ce climat d’angoisse qui nous isole les uns des autres"? Puisque le terrorisme cherche à nous diviser… Qui, dans le métro, voyant entrer un musulman visiblement religieux muni d’un gros sac ne s’est pas posé la question terroriste"? Pas terroriste"? Je change de rame"? Je reste"? Qui n’a pas fait de délit de faciès […], avant de s’en vouloir "? Moi"? Un délit de faciès"? Impossible"! » interrogeait, sur le site The Conversation, la philosophe Mazarine Pingeot. C’est alors qu’est exhumé le racisme ordinaire, celui qui s’indexe sur la peur. Une peur partagée par les Français d’origine arabe, par les musulmans, par tous les usagers du métro, par moi, par les zélateurs des droits de l’homme, par les militants d’extrême gauche, par les policiers en civil, par les institutrices, par les femmes voilées, par les agents de la RATP. Et nous voilà nous observant avec, dans le regard, cette étrange couleur du doute. Le voilà le terrorisme celui qui détruit le lien social et le rapport à l’autre. » Un an après les attentats de Paris, quatre mois après ceux de Nice, le constat est là nos divisions, déjà bien présentes, se sont sévèrement creusées, teintées d’agressivité, d’intolérance et, parfois, de véritable violence. Rien d’étonnant, si l’on en croit la théorie de gestion de la terreur » élaborée par des psychologues américains au début des années 1990 face à la mort inévitable, nous nous raidissons pour défendre des visions culturelles symboliques du monde ». Des visions qui comprennent nos normes, nos valeurs, mais aussi nos représentations de l’ordre et nos symboles nationaux. C’est ainsi que nous avons réinvesti le triptyque liberté, égalité, fraternité » – jusque-là assoupi aux frontons de nos mairies –, que nous pavoisons soudainement nos balcons et nos profils Facebook, que nous évoquons pour certains le rétablissement du service national, etc. Problème en nous recroquevillant sur notre vision du monde, nous honnissons bien sûr ceux qui ne la partagent pas. Une tendance qu’accentue la rhétorique guerrière utilisée par les chefs d’État Bush en 2001, comme Hollande aujourd’hui, qui exacerbent un “nous” d’identité nationale », souligne le sociologue Gérôme Truc, auteur de Sidérations, une sociologie des attentats PUF, qui étudie depuis le 11 Septembre les répercussions des attentats sur les sociétés occidentales. Re-problème En voulant appeler à l’unité, ils alimentent la division, poursuit-il. Quand tout va bien, nous vivons tranquillement les uns à côté des autres, dans notre pluralité. Brandir le “nous” implique de devoir le définir. » Chacun avance sa conception, forcément exclusive et excluante. C’est ainsi que la société se polarise, que chaque communauté se radicalise. Et que le vivre-ensemble finit par devenir une expression vide de sens. Le psychanalyste Gérard Bonnet confirme Il est facile de cristalliser l’angoisse – qui est la crainte de l’inconnu, de l’étrange en soi – sur la peur des étrangers. Le risque est que chacun se déresponsabilise de sa peur et prête l’oreille aux meneurs démagogues et nationalistes. Un mouvement régressif rappelant celui du petit enfant qui a besoin des paroles de son entourage pour donner un sens à son angoisse. » D’un point de vue neuroscientifique, troubles anxieux et racisme sont d’ailleurs liés. Ils ont tous les deux à voir avec une hyperactivation de l’amygdale recherches menées par Andreas Olsson, de l’université Columbia, et Liz Phelps, de l’université de New York, cette structure cérébrale qui sonne l’alarme quand un stimulus perçu comme effrayant apparaît. Une voie rapide » de la peur complétée par une autre, plus lente, passant par le cortex. Or, selon l’identité du sujet, son déterminisme biologique, son conditionnement aversif ou empathique vis-à-vis d’autrui, la réaction de peur varie. Et les structures corticales jouent plus ou moins leur rôle de régulateur », explique le psychiatre Bruno Millet, responsable de l’unité de stimulation cérébrale des pathologies obsessionnelles et addictives à la Pitié-Salpêtrière, à Paris, auteur de Mieux soigner les TOC Odile Jacob. Nourrie de nos angoisses profondes, la peur des attentats se manifeste aussi, pour certains, par des phobies. Il est utile, chez les enfants ou les adolescents, qu’elle se fixe sur la peur du loup ou des terroristes, avance Gérard Bonnet. Cela permet de la mettre en forme, de lui donner une représentation, d’en parler avec les parents et, donc, de l’apprivoiser. C’est plus problématique chez les adultes, qui ne regardent pas toujours ce qu’elle dit de leurs peurs enfouies. » La phobie, y compris quand elle se fait xénophobie », est une stratégie psychique nous fixons notre peur à un endroit identifié et, par conséquent, nous ne sommes pas envahis par l’angoisse le reste du temps. Le problème, au niveau individuel comme social, c’est qu’elle fait diversion. Elle nous aveugle sur les vraies causes de notre malêtre. C’est la thèse du sociologue Zygmunt Bauman dans son essai Le Présent liquide, peurs sociales et obsession sécuritaire Seuil pour ne pas regarder la terrifiante insécurité créée par notre société dérégulée, concurrentielle, sapant tant les filets de sécurité offerts par les liens humains que les garanties communes financées par l’État, nous cherchons des cibles de substitution. Un tueur en série, un mendiant gênant, un voyou, un empoisonneur, un terroriste ou, mieux encore, toutes ces menaces réunies en la personne d’un immigré clandestin » ont désormais remplacé les sorcières et autres créatures malfaisantes, les esprits et le mauvais œil des légendes », expose-t-il. Revoici la fameuse dynamique du bouc émissaire. Dans une gestion malsaine de la peur, l’énergie mobilisée trouve son exutoire dans la violence et la haine de l’autre », relève le gestalt-thérapeute Jean-François Gravouil. … écoutons notre besoin de nous rassembler Nous avons communié, pleuré ensemble, nous nous sommes serrés dans les bras, soutenus, reconnus comme humains, tous autant que nous sommes. J’en suis ressortie essorée, mais profondément rassurée, raconte Pierra, 60 ans, à propos de la marche organisée le 11 janvier 2015, après les attaques contre Charlie hebdo et l’Hyper Cacher. Tandis qu’après Paris, Bruxelles et Nice, je suis restée terrée chez moi, scotchée aux réseaux sociaux et à la télé. » Deux façons opposées de vivre l’événement et, de fait, de métaboliser la peur. Parce qu’ils matraquent de l’info brute, sans élaboration, en boucle, les médias ne permettent pas de se décaler, de se déprendre de l’affect de peur. Au contraire, ils l’amplifient, analyse Jean- François Gravouil. Et parce qu’ils ne passent pas par la rencontre corporelle avec un autre, les réseaux sociaux ne nous aident pas à nous réguler », reprend-il, avant de dénoncer une gestion catastrophique de la peur après le 13 Novembre, l’état d’urgence empêchant tout rassemblement ». Pour le psychiatre américain Stephen Porges, c’est en effet la vue du visage de l’autre qui nous permet, par l’intermédiaire du nerf vague, de ralentir notre rythme cardiaque et de réguler notre respiration. Le besoin d’attachement et de proximité avec d’autres est une défense de survie instinctive, note justement la gestalt-thérapeute Miriam Taylor dans Thérapie du trauma, neurosciences et gestalt-thérapie L’Exprimerie. Nous nous sentons mieux quand d’autres personnes cherchent notre regard, nous sourient ou nous parlent gentiment, parce que c’est par ces moyens que nous communiquons en sécurité. » D’autant que la connexion à travers le regard déclenche aussi un relâchement d’ocytocine », hormone du bien-être. Élise, 44 ans, a remarqué que rassurer [ses] amies [lui] a permis de faire baisser [sa] peur. Je n’ai jamais eu autant besoin de faire des câlins, d’attraper physiquement mes proches"! ». Tout comme le parent fait office d’enveloppe psychique pour son bébé, qu’il accueille avec empathie et tendresse, nous avons besoin de l’autre pour sortir de la peur. Nous avons aussi été nombreux, confrontés à l’imminence d’une mort soudainement possible, à choisir de vivre plus pleinement. Ils n’auront pas notre plaisir"! Soyons hédonistes"! » s’exclame Élise. L’angoisse peut à tout instant se transformer en affect positif par le défoulement, en particulier par le rire, l’art, la comédie, la fête. Surtout lorsqu’elle est investie au niveau collectif », rassure Gérard Bonnet. Certes, indique le psychanalyste Olivier Douville, ce n’est pas un combat politique de première instance d’aller boire des coups en terrasse, mais ça a l’avantage de recréer du lien social et de mettre en forme notre envie de vivre ». Prendre soin de ceux qui sont vivants autour de nous, chérir le vivant qui nous anime, mais aussi ce qui nous lie les uns aux autres. C’est ainsi que Laure s’est investie dans une association d’aide pour les réfugiés. En étant dans l’action et en lien avec les autres, je me rassure aussi un peu ». Gérard Bonnet Pour la psychanalyse, l’angoisse est action – action en attente, action contrariée, déviée, contenue. » Passer à l’action, c’est donc évacuer un peu sa pression. … restons fidèles à nos idéaux Au coeur de la peur, nous nous entraidons Au plus fort de la catastrophe, nous aimerions nous croire héroïques. Venant en aide aux plus faibles. Laissant passer les femmes et les enfants d’abord ». Voire sauvant certains de nos camarades. Illusion ? Non, à en lire les études compilées par le psychologue Guillaume Dezecache. Quand nous regardons précisément les situations d’évacuation de masse en urgence incendies, naufrages, attentats…, nous constatons plus de comportements prosociaux que de réactions impulsives, irrationnelles et antisociales. » Ainsi, selon une étude menée auprès de quatre cent trente-cinq survivants des attaques du World Trade Center, la moitié d’entre eux a remarqué des gestes d’entraide, et seulement un tiers des signes d’anxiété, des cris, des bousculades. Le psychologue, qui travaille actuellement à récolter les témoignages des rescapés des attaques de novembre 2015 à Paris, avance trois explications. D’abord, le maintien des normes sociales, même au cœur de la peur. Ensuite, l’importance vitale du sentiment d’affiliation quand nous faisons face à une menace mortelle. Enfin, la constitution d’une identité et, peut-être, d’une résilience, commune. Il y a un an, sur Gérôme Truc insistait Pour sortir de la peur et de la sidération, nous avons besoin de faire quelque chose, nous rendre utiles, aider, ne pas rester les bras croisés. Sur le moment, cela s’est traduit par l’envie de donner son sang, de déposer une bougie sur les lieux des attentats. » Sur le long terme, cela s’exprime par l’engagement associatif, le besoin de débattre, de montrer des attentions aux autres. Un engagement qui demande parfois de prendre sur soi, de tenir à ses idéaux. Après les attentats, je me suis engagée dans une association qui aide les publics fragiles à accéder aux services publics. Or, côtoyer des gens qui abusent du système en le critiquant, qui s’avèrent racistes ou qui se positionnent comme victimes de tout et de tous, a engendré chez moi une grande colère. C’est difficile, mais je lutte de toutes mes forces contre mes mauvaises pensées, persuadée que c’est en cultivant les liens entre nous, en disant les mots qui rapprochent que nous pourrons nous en sortir », témoigne Anne, 53 ans, depuis le Var. C’est en effet en maintenant et en fabriquant le lien social, ce lien qui produit un sentiment de sécurité très important, que l’on produit une sécurité réelle », observait le psychanalyste Roland Gori dans une passionnante interview donnée au site Internet de Politis À partir du moment où les gens sont ensemble, sont bien soignés, sont éduqués, sont accueillis, bref, où on les aide à vivre ensemble par les services publics, il y a un terreau de la sécurité que le paradigme de la logique d’austérité et du modèle de l’homme économique a détruit toutes ces dernières années. » Vous l’aurez compris l’homme en appelle à un véritable changement de paradigme. Un engagement collectif qui passe par l’acte de décès du néolibéralisme, en urgence, en état d’urgence ». Après le pacte de stabilité » et le pacte de sécurité », il est grand temps que nous signions un pacte d’humanité ». Les messages laissés sur les mémoriaux après les attentats à New York, Madrid, Londres ou Paris évoquent majoritairement l’amour, la paix, le refus de la haine et de la violence, rappelle Gérôme Truc. Même à Nice, contrairement à ce qui a été tellement mis en avant dans les médias"! Toute remarque xénophobe est aussi suivie de contestation. Je me souviens d’un mot, sur la promenade des Anglais, disant “Les étrangers dehors”. En moins d’une heure, quelqu’un l’avait raturé, remplaçant “dehors” par “welcome”. » … ayons le courage de l’altruisme Événement la fraternité à l'honneur Afin d’impulser une mobilisation durable, l’association Fraternité générale lance une semaine de la fraternité » partout en France. Citoyens, artistes, associations, mairies, cinémas, bibliothèques, hôpitaux, casernes... Chacun est invité à rejoindre le mouvement porté par le philosophe Abdennour Bidar, avec Alexandre Jardin, Aya Cissoko, René Frydman, Féloche, Claire Chazal, Frédéric Lenoir, Hubert Reeves, Edgar Morin et tant d’autres. Au programme des concerts gratuits les terrasses musicales », des repas, des rencontres sportives, des projections, des débats dans les cafés, les écoles, les entreprises, un colloque et un grand bal de la fraternité ». Du 2 au 10 novembre La peur nous rendrait donc finalement gentils et altruistes"? Les deux mouvements sont en tension », constate le sociologue. D’un côté, le repli frileux sur nous-mêmes, la crispation identitaire, la tentation des extrêmes et l’agressivité. Une tendance bruyante, attisée par nombre de personnalités politiques qui espèrent ainsi se rallier les foules craintives. De l’autre, le besoin de se reconnaître comme humain parmi les humains, de se rassurer, de se renforcer ensemble dans des comportements altruistes. Une tendance à bas bruit, portée par nombre d’intellectuels et de citoyens. Individuellement et collectivement, nous devons choisir voulons-nous continuer d’avoir peur dans une société qui se radicalise et qui glisse lentement vers la guerre civile"? Ou choisissons-nous l’altruisme, la gentillesse, l’attention à l’autre"? À Psychologies, nous en sommes convaincus et nous le réaffirmons oser être gentils, sourire à ceux qui nous sont les plus étrangers, s’engager pour un monde plus fraternel, n’est plus un luxe. Face au piège de la radicalisation religieuse ou démagogique, notre responsabilité est engagée. Quand la peur nous prend aux tripes, réactive nos phobies et nos pulsions les plus sombres, faire preuve d’altruisme est un courage indispensable. Octobre 2016
on les a quand on a peur